bmw électrique

13052010

BMW a la fibre électrique ! Après avoir lancé la Mini-E dans le cadre du  »projet I », la marque bavaroise présentera, lors du Salon de Détroit qui ouvrira le 11 janvier, son deuxième projet phare en matière de propulsion zéro émission : le BMW Concept ActiveE. Construit sur une plate-forme de BMW Coupé Série 1, l’étude se veut déjà très proche d’un véhicule de grande série.Grâce à l’intégration intelligente des composants, le moteur et les batteries occupent une place réduite laissant de l’espace dans l’habitacle pour quatre places assises et un coffre de 200 litres . Le moteur, développé spécialement pour la première BMW à propulsion strictement électrique, délivre 170 ch. Il propulse le véhicule de 0 à 100 km/h en moins de 9 secondes. Et bénéficie d’un système de récupération de l’énergie. Le moteur électrique est alimenté en énergie par des batteries lithium-ion. Ce sont des accus à haut-voltage. Ils permettent une autonomie d’environ 160 kilomètres . Ils sont aussi rechargeables extrêmement rapidement. Un accu complètement à plat peut être rechargé en moins de trois heures à l’aide d’un chargeur, qui absorbe un courant de 50 ampères pour une tension de 230/240 volts.

Cette voiture, comme la Mini E , fera l’objet de tests à grande échelle dans des zones urbaines. Les essais seront menés auprès de clients privés. Les renseignements ainsi recueillis seront exploités pour le développement d’un véhicule électrique de série (baptisé pour l’instant Megacity Vehicle). BMW prévoit de lancer ce nouveau modèle d’ici 2015 sous une autre marque.

Thibaut De Jaegher




Voici la Hyundai Sonata version hybride !

10052010

hybride très distinguée

Sur le plan technique
La berline coréenne adopte un bloc 2.4 tout aluminium de 170 ch associé à un bloc électrique de 30 kW, soit l’équivalent de 40 ch.

Copieusement remaniée
La Hyundai Sonata BlueDrive se distingue également des hybrides classiques par ses batteries. Elle loge en effet dans son coffre des cellules lithium-polymère, une technologie considérablement plus compacte et légère que les batteries nickel métal hydrure de la Prius III.

Autre spécificité
Le moteur de la coréenne n’est pas couplé à une boîte CVT (à variation continue) comme sur nombre de ses rivales, mais à une transmission automatique classique à six rapports.

En mode 100 % électrique
Cette Hyundai Sonata revendique une vitesse de pointe de 100 km/h. Peu d’autres informations ont été communiquées, si ce n’est la principale : sa consommation, annoncée à 6,8 l/100 km en cycle mixte.

Sur le plan du style
Cette hybride prend ses distances avec sa sœur 100% thermique. On note ainsi la présence d’une large calandre béante, de feux diurnes à LED, d’un nouveau bouclier arrière et d’un logo sur fond bleu rappelant son patronyme BlueDrive.

La Hyundai Sonata BlueDrive sera lancée à la fin de l’année aux USA. Hyundai n’a pas encore communiqué son tarif.




Salon de Hanovre : Volkswagen « Taxi Milano »

10052010

Volkswagen « Taxi Milano »Volkswagen travaille activement sur la mobilité électrique et profite du salon de l’industrie de Hanovre (19-23/04) pour présenter son étude « Taxi Milano ». Propulsé par un moteur électrique, ce concept donne une certaine idée de ce que pourraient être les futurs taxis des grandes capitales.
Mesurant moins de 4,0 m de long et 1,60 m de haut, « Taxi Milano » illustre la ferme intention de Volkswagen de devenir un des leaders mondiaux sur le marché de la voiture élctrique. D’ailleurs le programme du groupe est déjà bien avancé puisque plusieurs modèles zéro émission seront lancés dès 2013. En attendant, Volkswagen se penche sur l’avenir du déplacement urbain avec ce curieux taxi aux couleurs de la ville de Milan. Portes coulissantes pour faciliter l’accès à bord, espace de chargement à côté du conducteur, grand toit vitré et écran tactile, tout est pensé pour rendre agréable la course aux passagers. Le chauffeur lui n’est pas en reste, un écran tactile lui sert à la fois de système de navigation et de terminal de paiement. Côté moteur, une unité électrique de 85 kW alimentée par une batterie lithium-ion logée sous le plancher permet au « Taxi Milano » de filer à 120 km/h et de rouler pendant plus de 300 km. Bien évidemment, tout ça se fait sans aucune émission.

mardi avril 20, 10:00 AM

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Essai Honda CR-Z : Coupé décalé

10052010

Essai Honda CR-Z : Coupé décalé logow Essai Honda CR-Z : Coupé décaléAvec environ 10 000 unités en 2009 soit 0,5 % du marché, le véhicule hybride est encore marginal en France, pourtant il fait beaucoup de bruit. Il faut dire que les gens hésitent à se convertir et on les comprend car pour l’instant ce n’est pas le Pérou question design et sensations mécaniques. Et bien Honda apporte une lueur d’espoir avec le CR-Z, un petit coupé sportif doté en première mondiale d’une boîte manuelle. Alors fausse bonne idée ou proposition cohérente pour ceux qui cherchent à lier passion et raison ? Verdict en essai dans les environs d’Amsterdam.

Dans l’oeil du photographe
Puisant ses racines dans le coupé CRX (sortie en 1983), le CR-Z a fait sa toute première apparition sous forme de concept au salon de Tokyo 2007. Long de 4,08 m et large de 1,74 m, ce coupé 2+2 affiche le gabarit d’une citadine, un atout surtout dans les ruelles étroites qui bordent les canaux d’Amsterdam. Le coup de crayon est inspiré, le CR-Z sait être agressif sans trop en faire, on regrette seulement que la présence de feux de jour à diodes ne parvienne pas à masquer la tristesse de son regard. Vu de l’arrière, Honda maîtrise ses classiques avec un pavillon en pente douce et un hayon en deux parties. On aime ou on déteste mais le CR-Z attire les regards et pour un véhicule hybride c’est déjà une prouesse.

Vie à bord
habitués de la marque se sentiront immédiatement à l’aise en pénétrant à bord. Tableau de bord torturé façon vaisseau spatial, instrumentation futuriste qui change de couleur à l’instar de l’Insight en fonction de l’accélération ou du mode de conduite choisi ( Sport, Econ, Normal) et plastiques durs, pas de doute on est dans une Honda. Une ambiance que l’on ne trouve nulle part ailleurs mais qui cache en réalité une ergonomie intelligente et une résistance au temps exceptionnelle. Bien assis et parfaitement maintenus au ras du sol, conducteur et passager disposent d’un espace confortable et bien éclairé grâce à un large pare-brise. À l’arrière en revanche, les places sont symboliques et relèveront de la punition pour ceux qui devront s’y installer. Le coffre enfin profite d’un volume intéressant de 382 L.

Les équipements
Au lancement, le CR-Z est disponible en trois niveaux de finitions Sport, GT (+ 1 500 EUR) et Luxury (+ 1 800 EUR) avec de série sur l’entrée de gamme la climatisation automatique, l’autoradio CD avec commandes au volant et prises auxiliaires, les feux de jour et les jantes alliage 16 pouces. Sellerie cuir, navigation et toit ouvrant sont de série sur le haut de gamme. La seule option du catalogue reste la peinture métallisée à 400 EUR.

Sous le capot
Parmi les pionniers de la technologie hybride, déjà 500 000 unités vendues dans le monde, Honda a logiquement décliné son système IMA sur le CR-Z. Petit rappel, IMA est un dispositif hybride parallèle où le moteur électrique vient en soutien du bloc thermique et ne peut mouvoir à lui seul la voiture. Sur CR-Z, on trouve donc un 4 cylindres 1.5 i-VTEC issu de la Jazz développant 114 ch et 145 Nm de couple et un moteur électrique de 14 ch et 78 Nm. Au final, on dispose de 124 ch et 174 Nm afin d’atteindre 200 km/h en pointe et réaliser le 0 à 100 km/h en 9 »9. Rien de bien nouveau jusque-là sauf que le CR-Z est le premier véhicule hybride à transmission manuelle et non à variation continue comme ses contemporains.

Et côté agrément, cela est censé tout changer. Pourtant, malgré un poids total inférieur à 1,2 tonne, le CR-Z ne provoque pas l’euphorie. Sa mécanique est vaillante et accepte même de prendre des tours, le contraire eut été étonnant pour un bloc nippon, mais pas d’effet VTEC et pas de hurlement façon Civic Type-R. De plus la boîte souffre d’un étagement bien trop long. Enfin, si l’on veut s’en tenir au 5,0 L/100 km annoncés en cycle mixte, il faut y aller tout doux sur la pédale de droite.
Le bilan moteur est donc mitigé, à la fois frustré par le manque de tempérament de la mécanique, mais content tout de même de ne pas s’être ennuyé au volant d’une hybride.

Sur la route
Construit sur la plate-forme de l’Insight, le CR-Z bénéficie de voies élargies (AV : 20 mm / AR : 25 mm) et d’un empattement raccourci de 115 mm. Bien stable sur ses appuis, vif mais progressif dans ses réactions, il fait preuve d’un certain dynamisme. À noter que sa vivacité est également à mettre sur le compte d’une monte pneumatique raisonnable pour l’époque : 195/55 R16. Son amortissement, ferme mais pas cassant, lui offre une précision de bon aloi et sa direction, sans être parfaite, remonte bien l’information. Mais ce tableau alléchant conduit à se poser la question suivante : un peu plus de chevaux, c’est possible ?

Bilan
Au risque de décevoir les nostalgiques du CRX et ceux qui veulent bien faire un geste pour la planète sans pour autant renoncer au plaisir de conduite, Honda ne doit pas vendre son CR-Z comme un véhicule sportif mais plutôt comme une auto au rapport agrément/économie inédit. Joliment dessiné, atypique dans sa présentation et offrant des prestations dynamiques de bon niveau, ce coupé ne pourrait souffrir que d’une chose, un positionnement marketing mal habile. Pour finir, le CR-Z s’affiche à un tarif étudié : 19 800 EUR, bonus de 2 000 EUR et prime à la casse de 700 EUR déduits.

jeudi mai 6, 7:56 AM




Sondage autour de la voiture propre (institut LH2)

7052010

LH2 a réalisé pour l’assureur Maaf et le journal Le Parisien, un sondage auprès de 1062 personnes de 15 ans et plus sur la période des 15 et 16 septembre , intitulé “Les français et la voiture propre”.

Méthode des quotas appliquée aux variables :
> sexe
> âge
> profession du chef de famille

, après stratification:
> par région
> et catégorie dagglomération.

Avec un tel titre “Les français et la voiture propre”, pas étonnant qu’à la question sur “votre voiture idéale”, les réponses soient orientées … vers
1) 60% pour une voiture qui consomme moins
2) 59% pour une voiture qui pollue moins.

Suivent:
3) 29% pour “mieux sécurisé”
4) 18% pour “plus confortable”
5) 8% pour “plus silencieuse”
6) 4% pour davantage assisté par ordinateur
7) 4% pour “plus rapide”
8) 2% indéfini.

Ne pensez pas que la sécurité, le confort, le silence n’intéressent pas/plus les usagers, il s’agit plutôt d’un constat
: les voitures d’aujourd’hui SONT DÉJA sécurisantes, confortables, silencieuses.
De même pour la rapidité, même si la répression et la culture de culpabilisation sont des facteurs autrement plus décisifs.

4% “davantage assistée par ordinateur”?
Quel aurait été le score avec une question mieux orientée vers le multimédia embarqué?

Et pour finir, la proposition: “voulez vous une voiture moins chère” n’est même pas posée…
Au regard de la percée de Dacia, des coréennes et plus largement, le développement de solutions alternatives comme le co-voiturage, l’intérêt scientifique du sondage est plus qu’aléatoire.

Quand à la question “Le fait davoir une voiture propre, qui ne pollue pas, est-ce que cest quelque chose qui vous intéresserait ?” Est-il étonnant que tout le monde (94%) répondent “beaucoup” ou “assez”.

Ces sondages sur 1000 personnes (très fréquents, sur tous sujets) sont assez étonnants. Il est assez évident que la population de chaque tranche d’âge (15-25, 25-35 etc) se sent différemment concernée par tel ou tel sujet.
Or, si l’on divise 1062 par 26 régions, puis par 4 catégories d’agglomération, ensuite par 2 (sexes) on en arrive à un échantillon de 5,1, pour étudier 5 ou 6 tranches d’âge bein distinctes, et rapidement, une dizaine de professions/statuts sociaux spécifiques… Un sujet aussi général, concerne tout le monde; cet échantillonage est trop restreint.

Enfin, si cela permet de jouer sur l’opinion publique, cela servira bien nos constructeurs nationaux qui se lancent enfin (en France) dans des solutions alternatives tel le Flex (à défaut d’être présent dans l’hybride ou l’hydrogène).
Néanmoins, PSA semble bien engagé dans l’hybridation, en témoignent les moteurs électriques de la C-Métisse à l’image des multiples proto Mitsubishi MIEV depuis quelques années. Renault peut compter sur les travaux de Nissan sur l’hydrogène. Le problème, ce sera le timing.
A l’intitulé “Les priorités pour demain”, la question: “À votre avis, que devrait faire lÉtat en priorité pour inciter les Français à rouler avec des voitures propres ?”

Les choix:
> Aider la recherche industrielle sur ce secteur (46%)
> Aider les personnes qui achètent des voitures propres (36)
> Aider les marques qui commercialisent le plus de voitures propres (15%)
… sont bien dans la culture de l’assistanat plutôt que de vouloir provoquer un courage d’engagement politique (3 fois “aider”, tout de même).

Seul les 3% qui ne se prononcent pas seraient-ils de cet avis et attendent autre chose?

Enfin, MAAF oblige, une question surprenante : “Si les assureurs prévoyaient un prix moins élevé pour assurer les voitures propres, trouveriez-cela ? etc etc: quel rapport entre un véhicule propre et les dommages conséquents aux comportements des conducteurs, la sécurité intrinsèque du véhicule ou le vandalisme qui injurient nos autos ou nous même?

Après le remboursement d’alicaments, les assureurs poursuivraient-ils dans la voie d’une pseudo responsabilisation civique, à défaut de nos politiques?

En conclusion, l’intérêt de ce sondage … c’est son existence et que notre époque du pétrole cher, l’y oblige. Si cela peut permettre de préparer l’opinion publique à une évolution de comportement, ce sera toujours çà de gagner







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